Toutes les semaines, retrouvez la revue des marchés et le thème de la semaine par nos experts : Axel Botte, Aline Goupil-Raguénès et Zouhoure Bousbih dans MyStratWeekly et son podcast.
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Le podcast d'Axel Botte et de Zouhoure Bousbih
Télécharger les slides du podcastLe thème de la semaine : La nouvelle ruée vers l’Or
- Les cours de l’or ont battu des records historiques ;
- Les conditions financières sont des déterminants pour les prix sur le court terme ;
- Cependant, la demande, notamment celle des Banques centrales, est un déterminant important sur le long terme ;
- Depuis 2008, la demande d’or des Banques centrales des pays émergents a plus que doublé ;
- Cela reflète une volonté de se diversifier du dollar pour des raisons économiques et géopolitiques ;
- Le précieux métal jaune constitue également un moyen de contourner les sanctions internationales.
La revue des marchés : Le retour du risque spécifique
- États-Unis : croissance au 4T révisée à 3,4 % ;
- Les actions mondiales en hausse de 8,8 % au 1er trimestre ;
- Le déficit budgétaire pèse sur le spread de l’OAT ;
- Le risque spécifique revient sur le high yield.
Le podcast d'Axel Botte et de Zouhoure Bousbih
- Revue de la semaine : Bilan du 1T 2024 sur les marchés et l’immobilier américain ;
- Thème : La nouvelle ruée vers l’Or.
Le graphique de la semaine
L'Association américaine des investisseurs individuels (AAII) produit une enquête auprès des investisseurs pour évaluer le sentiment des intervenants sur les marchés financiers.
Le graphique ci-dessus reflète le degré d’optimisme des investisseurs concernant les marchés boursiers américains. Le solde d’opinions des investisseurs se situe à + 27,6 % en faveur de la hausse, ce qui indique un niveau élevé d'optimisme parmi les investisseurs en bourse aux États-Unis.
Un optimisme excessif préfigure parfois une correction du marché.
Le chiffre de la semaine
Il s’agit du déficit budgétaire en France en points de PIB. Les données révisées sont ressorties bien au-dessus des attentes, en raison d’une baisse des recettes fiscales de l’ordre de 20 Mds d’euros.
